Du concile de Trente (1545 à 1563) jusqu’au concile Vatican II (1962 à 1965), une vie cloîtrée est imposée à toutes les communautés religieuses féminines désirant être reconnues par l’Église catholique. Cette imposition est, selon le clergé, nécessaire pour que les religieuses arrivent à bien réaliser leurs missions. Les Augustines de la Miséricorde de Jésus ne font pas exception et s’adaptent à cette vie cloîtrée, et ce, même en Amérique du Nord où elles s’implantèrent en 1639.